est un programme qui forme avec succès des étudiant-es du monde entier depuis 1963. C'est une formation qui se veut résolument interdisciplinaire et qui comporte deux orientations au choix: «Economie, politique, institutions et sociétés européennes» et «Global Europe».
Le programme débute par un tronc commun interdisciplinaire obligatoire de 24 crédits, quelle que soit l'orientation. Un bloc méthodologique de 18 crédits (3 enseignements à choix parmi une dizaine proposés) figure également au programme dès le premier semestre.
A l'issue de celui-ci, les étudiant-es poursuivent leur cursus au sein de l'orientation choisie avant le début de l'année académique.
L'orientation «Economie, Politique, Institutions et Sociétés Européennes» étudie et questionne le projet européen à travers des enseignements issus de la sciences politique, de la sociologie, des sciences économiques et insiste notamment sur le rôle majeur du droit dans le processus d'intégration européenne. Cette orientation ménage également une place particulière à la dimension culturelle de l'Europe, s'inscrivant ainsi dans l'héritage du fondateur de l'Institut européen, Denis de Rougemont, pour qui la culture était essentielle dans les mécanismes de la construction européenne.
L'orientation «Global Europe» se focalise, quant à elle, sur la place de l'Europe dans le monde. Nouvellement créée au sein du Master en études européennes, elle offre aux étudiant-es la possibilité d'examiner le rôle et la capacité de l'UE à faire face aux enjeux globaux d'une part, et son inscription dans le système d'échanges liés aux nouveaux équilibres géopolitiques de l'autre. Histoire, droit, science politique, économie mais aussi un questionnement autour de la définition même des études globales sont au programme de cette orientation.
Un bloc à option de 30 crédits permettra aux étudiant-es de colorer leur formation en approfondissant les thématiques de leur choix parmi la vaste offre proposée par le GSI et par ses facultés partenaires (droit, économie et management, lettres, sciences de la société, etc).
Un séjour de mobilité d'un semestre, non obligatoire, est possible au sein d'une de nos universités partenaires.
Enfin, pour clore leur cursus et quelle que soit leur orientation, les étudiant-es choisissent entre un stage de fin d'études ou un mémoire de recherche. Le stage s'inscrit dans une démarche professionnalisante et inclut la rédaction d'un rapport de stage sur l'expérience acquise. Le mémoire offre la possibilité de travailler sur une question de recherche précise, sous un angle disciplinaire ou interdisciplinaire, et prépare à la recherche académique. Il peut ouvrir les portes à un doctorat.
est un programme qui forme avec succès des étudiant-es du monde entier depuis 1963. C'est une formation qui se veut résolument interdisciplinaire et qui comporte deux orientations au choix: «Economie, politique, institutions et sociétés européennes» et «Global Europe».
Le programme débute par un tronc commun interdisciplinaire obligatoire de 24 crédits, quelle que soit l'orientation. Un bloc méthodologique de 18 crédits (3 enseignements à choix parmi une dizaine proposés) figure également au programme dès le premier semestre.
A l'issue de celui-ci, les étudiant-es poursuivent leur cursus au sein de l'orientation choisie avant le début de l'année académique.
L'orientation «Economie, Politique, Institutions et Sociétés Européennes» étudie et questionne le projet européen à travers des enseignements issus de la sciences politique, de la sociologie, des sciences économiques et insiste notamment sur le rôle majeur du droit dans le processus d'intégration européenne. Cette orientation ménage également une place particulière à la dimension culturelle de l'Europe, s'inscrivant ainsi dans l'héritage du fondateur de l'Institut européen, Denis de Rougemont, pour qui la culture était essentielle dans les mécanismes de la construction européenne.
L'orientation «Global Europe» se focalise, quant à elle, sur la place de l'Europe dans le monde. Nouvellement créée au sein du Master en études européennes, elle offre aux étudiant-es la possibilité d'examiner le rôle et la capacité de l'UE à faire face aux enjeux globaux d'une part, et son inscription dans le système d'échanges liés aux nouveaux équilibres géopolitiques de l'autre. Histoire, droit, science politique, économie mais aussi un questionnement autour de la définition même des études globales sont au programme de cette orientation.
Un bloc à option de 30 crédits permettra aux étudiant-es de colorer leur formation en approfondissant les thématiques de leur choix parmi la vaste offre proposée par le GSI et par ses facultés partenaires (droit, économie et management, lettres, sciences de la société, etc).
Un séjour de mobilité d'un semestre, non obligatoire, est possible au sein d'une de nos universités partenaires.
Enfin, pour clore leur cursus et quelle que soit leur orientation, les étudiant-es choisissent entre un stage de fin d'études ou un mémoire de recherche. Le stage s'inscrit dans une démarche professionnalisante et inclut la rédaction d'un rapport de stage sur l'expérience acquise. Le mémoire offre la possibilité de travailler sur une question de recherche précise, sous un angle disciplinaire ou interdisciplinaire, et prépare à la recherche académique. Il peut ouvrir les portes à un doctorat.
2 ans (4 semestres)
Français
Connaissance passive de l'anglais recommandée.
Bachelor ou titre jugé équivalent.
Admission sur dossier.
unige.ch/gsi/fr/programmes/maee
Délai: 28 février 2025
Mme Maud Preher
T. +41 (0)22 379 37 11
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Aujourd'hui au centre de l'actualité, l'espace Europe centrale et orientale, Asie centrale et Caucase est en fait en recomposition permanente depuis plus d'un siècle. Des États nouveaux sont apparus sur les cartes et ont affirmé leur souveraineté à la faveur de l'effondrement des empires russe, allemand, austro-hongrois et ottoman en 1917-1918 puis du démantèlement de l'empire soviétique au début des années 1990. Héritiers de plusieurs décennies d'histoire commune, ils affirment chacun une identité politique, économique et culturelle propre. Entre une histoire partagée et des mémoires et projets divisés, leurs trajectoires présentes forment des zones douloureuses de tensions et de conflits pouvant aller jusqu'à des guerres, ou la mise en place d'alliances économiques, politiques et militaires.
Le Master Europe centrale et orientale, Asie centrale et Caucase (MAEAC) offre les outils de compréhension pour aborder avec acuité les enjeux contemporains liés à cet espace complexe, qualifié autrefois de «bloc de l'Est» ou «bloc soviétique».
Ce master n'est pas disciplinaire: si l'histoire contemporaine et les études slaves occupent une place importante dans les enseignements, la géopolitique, les sciences politiques et économiques sont également mobilisées à des titres divers dans le programme des enseignements.
Il se déroule en trois temps. Les étudiant-es débutent leur formation par les enseignements obligatoires du tronc commun puis choisissent, à partir du deuxième semestre, des enseignements au sein de différentes spécialisations. Une mobilité d'un semestre est également possible grâce aux nombreux accords offerts. L'obtention du diplôme se fait à l'issue de la rédaction d'un mémoire préparant aux métiers de la recherche, ou d'un stage, voie professionnalisante.
Aujourd'hui au centre de l'actualité, l'espace Europe centrale et orientale, Asie centrale et Caucase est en fait en recomposition permanente depuis plus d'un siècle. Des États nouveaux sont apparus sur les cartes et ont affirmé leur souveraineté à la faveur de l'effondrement des empires russe, allemand, austro-hongrois et ottoman en 1917-1918 puis du démantèlement de l'empire soviétique au début des années 1990. Héritiers de plusieurs décennies d'histoire commune, ils affirment chacun une identité politique, économique et culturelle propre. Entre une histoire partagée et des mémoires et projets divisés, leurs trajectoires présentes forment des zones douloureuses de tensions et de conflits pouvant aller jusqu'à des guerres, ou la mise en place d'alliances économiques, politiques et militaires.
Le Master Europe centrale et orientale, Asie centrale et Caucase (MAEAC) offre les outils de compréhension pour aborder avec acuité les enjeux contemporains liés à cet espace complexe, qualifié autrefois de «bloc de l'Est» ou «bloc soviétique».
Ce master n'est pas disciplinaire: si l'histoire contemporaine et les études slaves occupent une place importante dans les enseignements, la géopolitique, les sciences politiques et économiques sont également mobilisées à des titres divers dans le programme des enseignements.
Il se déroule en trois temps. Les étudiant-es débutent leur formation par les enseignements obligatoires du tronc commun puis choisissent, à partir du deuxième semestre, des enseignements au sein de différentes spécialisations. Une mobilité d'un semestre est également possible grâce aux nombreux accords offerts. L'obtention du diplôme se fait à l'issue de la rédaction d'un mémoire préparant aux métiers de la recherche, ou d'un stage, voie professionnalisante.
2 ans (4 semestres)
Français
Connaissance passive de l'anglais recommandée.
Bachelor ou titre jugé équivalent.
Admission sur dossier.
unige.ch/gsi/fr/programmes/marem
Délai: 28 février 2025
L'Institut permet la mobilité au niveau du master, à condition que la durée du séjour n'excède pas un semestre. La mobilité est possible dès le 3e semestre et limitée à un maximum de 30 crédits. Ni le mémoire ni le stage ne peuvent faire l'objet d’équivalence.
Ce programme propose une formation aux étudiant-es désireux et désireuses de se spécialiser dans les questions relatives au Moyen-Orient en adoptant une approche ouverte et pluridisciplinaire.
Le Master dédié au Moyen-Orient (MAMO) permet d'approfondir et d'enrichir la réflexion sur une région stratégique, prometteuse et vulnérable, constamment propulsée sur le devant de la scène mondiale, où l'interconnexion toujours croissante entre les différents acteurs (Etats, sociétés civiles, groupes non-étatiques etc.) impacte considérablement les dynamiques locales et régionales. Ce master se propose d'étudier, entre autres, les mobilisations sociales, l'évolution des relations entre les pays arabes et Israël ou l'Iran, le développement d'une diplomatie culturelle dans le Golfe et ailleurs, la rente pétrolière ou l'impact des crises globales, comme celle du COVID-19, sur la région. L'approche pluridisciplinaire - qu'elle soit historique, culturelle, géopolitique ou autre - permet aux étudiant-es d'appréhender les différents phénomènes dans leur entièreté, et leur offre les outils pour une analyse fine et objective, dans le but d'acquérir un savoir-faire d'excellence sur le Moyen-Orient.
Ces thèmes seront d'abord introduits dans le cadre du tronc commun ; des enseignements spécialisés, ainsi que des cours à options (à l'Université de Genève, à l'IHEID et à l'Université de Lausanne ou de Neuchâtel), permettront à chacun-e d'acquérir une connaissance approfondie de la région, tout en choisissant les thématiques des enseignements en fonction de ses intérêts. Des semestres d'échange dans des universités de la région étudiée ou des stages, à Genève comme au Moyen-Orient, permettront encore de renforcer les compétences des étudiant-es. Celles et ceux qui le souhaiteraient pourront également se familiariser avec l'arabe et l'arménien au cours de leur formation de base et perfectionner leurs connaissances lors d'un séjour dans la région.
Ce programme propose une formation aux étudiant-es désireux et désireuses de se spécialiser dans les questions relatives au Moyen-Orient en adoptant une approche ouverte et pluridisciplinaire.
Le Master dédié au Moyen-Orient (MAMO) permet d'approfondir et d'enrichir la réflexion sur une région stratégique, prometteuse et vulnérable, constamment propulsée sur le devant de la scène mondiale, où l'interconnexion toujours croissante entre les différents acteurs (Etats, sociétés civiles, groupes non-étatiques etc.) impacte considérablement les dynamiques locales et régionales. Ce master se propose d'étudier, entre autres, les mobilisations sociales, l'évolution des relations entre les pays arabes et Israël ou l'Iran, le développement d'une diplomatie culturelle dans le Golfe et ailleurs, la rente pétrolière ou l'impact des crises globales, comme celle du COVID-19, sur la région. L'approche pluridisciplinaire - qu'elle soit historique, culturelle, géopolitique ou autre - permet aux étudiant-es d'appréhender les différents phénomènes dans leur entièreté, et leur offre les outils pour une analyse fine et objective, dans le but d'acquérir un savoir-faire d'excellence sur le Moyen-Orient.
Ces thèmes seront d'abord introduits dans le cadre du tronc commun ; des enseignements spécialisés, ainsi que des cours à options (à l'Université de Genève, à l'IHEID et à l'Université de Lausanne ou de Neuchâtel), permettront à chacun-e d'acquérir une connaissance approfondie de la région, tout en choisissant les thématiques des enseignements en fonction de ses intérêts. Des semestres d'échange dans des universités de la région étudiée ou des stages, à Genève comme au Moyen-Orient, permettront encore de renforcer les compétences des étudiant-es. Celles et ceux qui le souhaiteraient pourront également se familiariser avec l'arabe et l'arménien au cours de leur formation de base et perfectionner leurs connaissances lors d'un séjour dans la région.
2 ans (4 semestres)
Français
Connaissance passive de l'anglais recommandée.
Bachelor ou titre jugé équivalent.
Admission sur dossier.
unige.ch/gsi/fr/programmes/mamo
Délai: 28 février 2025
Les enjeux relatifs au Moyen-Orient revêtent une grande importance pour la formation d'étudiant-es issus d'horizons divers et appelé-es à exercer des fonctions dans tous les secteurs relevant de la diplomatie, des ONG et des organisations internationales, des médias, des entreprises actives dans cet espace, ainsi que des arts et du patrimoine.
Par ailleurs, à intervalle régulier, le MAMO organise des événements - conférences, colloques, tables rondes - qui offrent la possibilité aux étudiant-es de se familiariser avec les recherches, voire de rencontrer d'éminent-es spécialistes de la région, en plus de celles et eux invitées dans les différents enseignements du master.
de l'Université de Genève est un programme à temps plein de deux ans qui vise à étudier les principaux problèmes de santé contemporains à travers des perspectives à la fois interdisciplinaires et internationales. La mission du MScGH est de fournir aux étudiant-es les outils nécessaires pour comprendre et analyser les problèmes de santé dont les déterminants sont interdépendants et dont la complexité dépasse les frontières des pays et les secteurs d'activité.
La transmission internationale des maladies infectieuses comme le virus Ebola ou Influenza, la résistance croissante des infections bactériennes aux antibiotiques, l'explosion des maladies chroniques comme le diabète et les problèmes cardiovasculaires, les problèmes de santé liés au vieillissement de la population, l'impact du changement climatique sur la santé sont des défis intersectoriels et transnationaux qui requièrent collaboration et coopération entre plusieurs acteurs. Pour répondre à ces défis, de nouvelles opportunités de formations sont nécessaires, en plus des programmes de formation traditionnels en médecine et en santé publique.
Le MScGH cherche à combiner les approches les plus pertinentes sur la santé globale en intégrant les perspectives de l'ensemble des disciplines académiques concernées mais également des acteurs de la santé globale basés à Genève et ailleurs. Le MScGH est spécifiquement conçu pour tirer parti de l'environnement fécond de la Genève internationale. Il fournit une occasion d'étudier là où de nombreux problèmes de santé sont discutés au niveau mondial et d'accomplir une formation pratique dans un cadre différent, comme les ONG et les organisations internationales.
de l'Université de Genève est un programme à temps plein de deux ans qui vise à étudier les principaux problèmes de santé contemporains à travers des perspectives à la fois interdisciplinaires et internationales. La mission du MScGH est de fournir aux étudiant-es les outils nécessaires pour comprendre et analyser les problèmes de santé dont les déterminants sont interdépendants et dont la complexité dépasse les frontières des pays et les secteurs d'activité.
La transmission internationale des maladies infectieuses comme le virus Ebola ou Influenza, la résistance croissante des infections bactériennes aux antibiotiques, l'explosion des maladies chroniques comme le diabète et les problèmes cardiovasculaires, les problèmes de santé liés au vieillissement de la population, l'impact du changement climatique sur la santé sont des défis intersectoriels et transnationaux qui requièrent collaboration et coopération entre plusieurs acteurs. Pour répondre à ces défis, de nouvelles opportunités de formations sont nécessaires, en plus des programmes de formation traditionnels en médecine et en santé publique.
Le MScGH cherche à combiner les approches les plus pertinentes sur la santé globale en intégrant les perspectives de l'ensemble des disciplines académiques concernées mais également des acteurs de la santé globale basés à Genève et ailleurs. Le MScGH est spécifiquement conçu pour tirer parti de l'environnement fécond de la Genève internationale. Il fournit une occasion d'étudier là où de nombreux problèmes de santé sont discutés au niveau mondial et d'accomplir une formation pratique dans un cadre différent, comme les ONG et les organisations internationales.
2 ans (4 semestres)
Anglais
Connaissance passive du français recommandée. Les travaux académiques peuvent être remis en anglais ou en français. Bien que l'ensemble de la formation puisse être effectuée en anglais, selon le choix de spécialisation au troisième semestre de l'étudiant-e, certains cours peuvent n'être offerts qu'en français.
Bachelor ou titre jugé équivalent.
Admission sur dossier.
L'Institut encourage les candidatures d'étudiant-es intéressé-es par la santé globale quelle que soit leur formation antérieure.
unige.ch/gsi/fr/programmes/magh
Délai: 28 février 2025
Sous condition de validation par le coordinateur du programme, les étudiant-e-s qui possèdent déjà un master en lien avec les thématiques abordées dans le programme peuvent demander des équivalences pour le 3e semestre de cours, jusqu'à concurrence de 30 crédits. Cette demande s'effectue dans le courant de la première année, après avoir été acceptée dans le programme.
Le Master en santé globale conduit à de nombreuses voies, tant en Suisse qu'à l'étranger:
M. Bogomil Kohlbrenner
T. +41 (0)22 379 04 67
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2 ans (4 semestres)
Français
Connaissance de l'anglais recommandée.
Bachelor ou titre jugé équivalent.
Admission sur dossier.
unige.ch/gsi/fr/programmes/mafr
Délai: 28 février 2025
L'Afrique représente un nouveau pôle de croissance économique et démographique, et son rôle ne fait que croître sur la scène internationale, tout comme les inégalités sociales que ce processus génère. Les étudiant-es issu-es de cette filière pourront donc se prévaloir des compétences nécessaires pour comprendre ces enjeux et y répondre dans des secteurs aussi divers que la diplomatie, le monde des ONG et des organisations internationales, les médias, mais également les entreprises, notamment multinationales, actives sur le continent, ainsi que la connaissance et la protection du patrimoine historique et culturel.
Mme Maud Preher
T. +41 (0)22 379 37 11
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de l'Université de Genève est un programme de deux ans à temps plein qui se concentre sur l'identification, la compréhension et la résolution des défis globaux. Il vise à former une nouvelle génération de professionnel-les capables d'aborder les défis contemporains les plus pressants dans une perspective interdisciplinaire. Les étudiant-es apprendront notamment à s'appuyer sur des connaissances et de l'évidence scientifique provenant de différentes sources, ainsi qu'à collaborer entre les différents niveaux et secteurs.
L'ère actuelle de la mondialisation a entraîné une complexification des relations internationales, exigeant ainsi de nouvelles modalités de réflexion sur le monde. L'humanité a atteint un niveau de développement sans précédent mais, avec une population de 8,1 milliards d'habitant-es et la croissance rapide de la demande en ressources naturelles associée à une dégradation de l'environnement, elle est confrontée à d'immenses défis en matière de durabilité. L'échelle et l'ampleur des défis mondiaux exigent de vastes transformations dans l'organisation des sociétés, des économies et des politiques. Ces transformations ne peuvent toutefois se produire sans une transformation concomitante de notre système de connaissances. Cela signifie qu'il faut créer des ponts entre les sciences sociales et entre les sciences naturelles et les sciences sociales afin de favoriser l'émergence d'une science des systèmes globaux. Contrairement aux connaissances disciplinaires cloisonnées, la science des systèmes globaux est mieux adaptée pour comprendre la nature de l'interconnectivité et ses implications pour l'humanité et la planète. Cette approche globale et holistique est notamment rendue possible par les progrès des technologies de la puissance de calcul informatique et la disponibilité de grands ensembles de données.
Dans le cadre du Master en études globales (MAGS), les étudiant-es acquerront une compréhension holistique des défis globaux contemporains et de la manière d'y répondre, y compris par l'innovation en matière de gouvernance. Les sujets abordés dans les cours toucheront aux catégories suivantes: 1) les relations internationales, la géopolitique, la gouvernance globale et régionale, et la diplomatie; 2) l'interdisciplinarité, la résolution collaborative de problèmes, et la théorie critique; 3) la pensée systémique et la science des données. Le MAGS est conçu de manière à offrir une flexibilité en termes de programme d'études, ce qui permet aux étudiant-es de suivre leurs intérêts individuels et de tracer leur propre voie éducative. Le MAGS offre également aux étudiant-es la possibilité de s'engager dans l'environnement international à Genève, notamment par le biais du Geneva Multilateral Clinic proposé au quatrième semestre en étroite collaboration avec les acteurs de la Genève internationale.
de l'Université de Genève est un programme de deux ans à temps plein qui se concentre sur l'identification, la compréhension et la résolution des défis globaux. Il vise à former une nouvelle génération de professionnel-les capables d'aborder les défis contemporains les plus pressants dans une perspective interdisciplinaire. Les étudiant-es apprendront notamment à s'appuyer sur des connaissances et de l'évidence scientifique provenant de différentes sources, ainsi qu'à collaborer entre les différents niveaux et secteurs.
L'ère actuelle de la mondialisation a entraîné une complexification des relations internationales, exigeant ainsi de nouvelles modalités de réflexion sur le monde. L'humanité a atteint un niveau de développement sans précédent mais, avec une population de 8,1 milliards d'habitant-es et la croissance rapide de la demande en ressources naturelles associée à une dégradation de l'environnement, elle est confrontée à d'immenses défis en matière de durabilité. L'échelle et l'ampleur des défis mondiaux exigent de vastes transformations dans l'organisation des sociétés, des économies et des politiques. Ces transformations ne peuvent toutefois se produire sans une transformation concomitante de notre système de connaissances. Cela signifie qu'il faut créer des ponts entre les sciences sociales et entre les sciences naturelles et les sciences sociales afin de favoriser l'émergence d'une science des systèmes globaux. Contrairement aux connaissances disciplinaires cloisonnées, la science des systèmes globaux est mieux adaptée pour comprendre la nature de l'interconnectivité et ses implications pour l'humanité et la planète. Cette approche globale et holistique est notamment rendue possible par les progrès des technologies de la puissance de calcul informatique et la disponibilité de grands ensembles de données.
Dans le cadre du Master en études globales (MAGS), les étudiant-es acquerront une compréhension holistique des défis globaux contemporains et de la manière d'y répondre, y compris par l'innovation en matière de gouvernance. Les sujets abordés dans les cours toucheront aux catégories suivantes: 1) les relations internationales, la géopolitique, la gouvernance globale et régionale, et la diplomatie; 2) l'interdisciplinarité, la résolution collaborative de problèmes, et la théorie critique; 3) la pensée systémique et la science des données. Le MAGS est conçu de manière à offrir une flexibilité en termes de programme d'études, ce qui permet aux étudiant-es de suivre leurs intérêts individuels et de tracer leur propre voie éducative. Le MAGS offre également aux étudiant-es la possibilité de s'engager dans l'environnement international à Genève, notamment par le biais du Geneva Multilateral Clinic proposé au quatrième semestre en étroite collaboration avec les acteurs de la Genève internationale.
2 ans (4 semestres)
Anglais
Les cours sont dispensés en anglais. Les travaux académiques peuvent être menés en anglais ou en français. Une connaissance passive du français est recommandée.
Bachelor ou titre jugé équivalent.
Admission sur dossier.
Le programme MAGS invite les étudiant-es intéressé-es par les études globales à poser leur candidature, quelle que soit leur discipline académique.
unige.ch/gsi/fr/programmes/mags
Les étudiant-es doivent maîtriser l'anglais. À l'exception des étudiant-es dont la langue maternelle est l'anglais ou qui ont suivi avec succès au moins une année d'enseignement secondaire ou supérieur (niveau universitaire) en anglais, tous les candidat-es doivent satisfaire à l'une des exigences suivantes (score minimal):
Mémoire de master ou participation à la Geneva Nexus (30 crédit au cours du 4e semestre).
Sur validation du coordinateur du programme, les étudiant-es déjà titulaires d'un master en rapport avec les thèmes abordés dans le programme peuvent demander des équivalences pour le troisième semestre du programme, jusqu'à concurrence de 30 crédits. Les étudiant-es peuvent faire cette demande au cours de la première année, une fois qu'ils ont été admis dans le programme.
Les étudiants en master sont autorisés à partir en échange pour un semestre maximum, dès leur troisième semestre d'études. Entre 24 et 30 crédits ECTS peuvent être obtenus dans une autre université. Le mémoire ne peut pas être remplacé (la mobilité n'est pas autorisée pour les étudiants qui demandent des équivalences pour le troisième semestre du programme).
Le MAGS vise à préparer les étudiant-es à travailler dans une variété d'environnements professionnels, y compris, mais sans s'y limiter, les organisations internationales (par exemple, les Nations unies), la société civile telle que les organisations non gouvernementales (par exemple, MSF, Care, Oxfam...), les institutions du secteur public au niveau national (par exemple, les ministères des affaires étrangères, les agences de développement) ou au niveau local (par exemple, les autorités municipales), les partenariats public-privé ainsi que le secteur privé.